Alain HANNECART
La terre vue du ciel
Ses lèvres purpurines
Un bouton de pivoine qui s’entrouvre
Son cou et ses cheveux
La nuit où glisse la mince lune
Paysage radieux qui sent bon la prairie
Son visage et ses yeux où passe son souris
Son corps une succession de vals et de monts
Où la raison s’égare où l’imagination cavale